Marianne, une jeune joueuse de tennis en devenir

Équipe éditoriale Cned

26/09/2024

À 10 ans, Marianne Zwang Siarnowski pratique la danse classique, le breakdance et l’athlétisme et le tennis en compétition depuis déjà plusieurs années.

Son plus beau souvenir, sa première participation à un tournoi. C’était en balle rouge, sur terre battue, à Villenave-d’Ornon en Gironde (33), j’avais 6 ans et j’ai terminé finaliste ! J’ai eu une magnifique médaille, j’étais trop heureuse !

Classée 30/2, la jeune joueuse du Club de Cazaux (33) sur le Bassin d’Arcachon évolue en catégorie U14 et s’apprête à jouer en Dames à partir de septembre prochain. Actuellement en classe de CM2, elle s’est inscrite au Cned à titre individuel en 2020.

J’ai toujours été très remuante... Mon frère jouait au tennis, et j’ai eu envie d’essayer. Non seulement j’adore courir sur le terrain mais j’ai surtout un très fort goût pour la compétition ! Je me bats pour gagner, quoi qu’il m’en coûte ! Je veux faire des tournois tout le temps ! À l’école, j’ai toujours eu du mal à me concentrer en classe, il y avait trop de bruit. J'ai besoin d’un environnement calme pour travailler et progresser à mon rythme. Parfois j'ai besoin de plusieurs heures sur un exercice, et d’autres fois, je le fais en 5 minutes.

La jeune fille, qui participe à de nombreux tournois, est également souvent en déplacement, ce qui rendait sa scolarité à l’école difficile. Mais depuis son inscription au Cned, elle peut désormais s’entrainer et jouer tous les jours au tennis : Ce sont mes parents qui ont choisi le Cned, ils voulaient m’aider dans ma scolarité, mais en respectant bien le programme scolaire, surtout en primaire… Et on peut dire que j'ai vite pris le rythme du Cned.

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Une scolarité encadrée par ses parents

Suivre le programme du Cned, ce n’est pas forcément évident. Mais Marianne sait qu’elle peut compter sur sa maman pour l’accompagner dans sa scolarité à distance. Rigoureuse, elle travaille tous les jours en début d’après-midi, se réservant des plages horaires plus importantes le mercredi et le samedi pour pouvoir réaliser les évaluations. Parfois, Marianne est un peu en difficulté, comme en arts plastiques où les projets proposés requièrent beaucoup de temps de réflexion et de réalisation. À l’inverse, en anglais, Marianne trouve que la progression est rapide, et la jeune fille adore ça !

Le plus difficile, c’est d’avoir les supports de cours avec plusieurs matières et plusieurs exercices différents enchaînés. Ce que je fais avec maman, c’est qu’on surligne dans une semaine de module une seule matière à la fois, par exemple le français, et je travaille cette matière bloc par bloc. Et ça fonctionne comme ça, j’ai de bons résultats, j’arrive à bien comprendre les évaluations.

Marianne loue la qualité des supports proposés par le Cned et l’accompagnement des professeurs qui corrigent les évaluations : Ils prennent le temps de donner des conseils personnalisés, il faut donc bien lire les corrections pour progresser.

En revanche, elle met en garde celles et ceux qui prendraient à la légère la scolarité à distance. Selon elle, pour réussir, il faut faire preuve de sérieux, être appliqué, et bien prendre le temps de lire les consignes. Elle souligne l’importance de travailler tous les jours, pour ne pas prendre de retard.

L'année prochaine, Marianne entrera en classe de sixième, toujours avec le Cned. Et cette entrée au collège ne l’inquiète guère : Je sais déjà que les cours seront organisés par matière donc ce sera plus facile, même si ce sera le programme du collège cette fois-ci. D’ici là, tout ce que vous pouvez me souhaiter, c’est de gagner plein de matchs et de tournois en France et en Europe !

Si vous voulez suivre l’actualité sportive de Marianne, rendez-vous sur son site internet ou son compte Instagram.